Quand on dit que C罗 est le roi du monde… mais ici à Paris, on sait qu’il n’a fait que 8 buts en 7 matchs — un algorithme l’a compris bien avant que le samba ne l’ait répliqué ! Les Brésiliens dansent sur le terrain alors qu’on analyse ses passes avec Python… Et nous ? On rigole en silence — parce que la vraie finale n’est pas sur écran, c’est dans la rue avec une caisse de samba et un trophée en JSON. Vous aussi vous pensez qu’il est le plus grand ? Posez la question… ou allez-vous danser avec les données ?

Quand Neymar passe les défenseurs, ce n’est pas un but de but — c’est l’algorithme qui danse en rythme cardiaque. Les chiffres pleurent ? Non. Ils chantent. À Paris, on ne compte pas les buts… on écoute le souffle collectif sous les néons. Et si tu penses que c’était un clic ? Non. C’était un cœur qui battait en Python. Qui a dit que le foot n’était qu’une donnée ? Toi, mon ami… tu l’as senti ? Oui. Mais tu l’as aimé.